20 août 2011
A Chep's
UN JOUR, UN CHAGRIN
Le soleil s'éteint peu à peu et colore l'horizon d'un feu rougeâtre. Les cimes des montagnes se dessinent alors sur un fond de soleil couchant et se découpent en de subtiles ombres chinoises. J'admire ce curieux paysage pourtant éblouissant. Soudain mon esprit agité se noye dans l'horizon, ma tête bourdonne. Etourdie, je me renferme telle une coquille, enfouissant mon visage au creux de mes mains et laisse couler de chaudes larmes. Tout mon être sanglote et frissonne de chagrin, mais au fond de mon coeur luit une flamme qui ne cesse et ne cessera jamais de te crier : "Je t'aime".
18 MARS 1996
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